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Le petit fugitif
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Le Petit Fugitif

Un film de Ray Ashley, Morris Engel et Ruth Orkin réalisé en 1953

Dispositif École et cinéma
Dispositif Collège au cinéma

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  • Période

    Temps scolaire

  • Tranche d'âge

    6-15 ans

Titre du film : Le petit fugitif
Réalisateur(s) : Ray Ashley, Morris Engel, Ruth Orkin
Pays : Etats-Unis
Année : 1953
Durée : 1h20
Version : VOST/VF
Distributeur : Carlotta Films
Stock : Distribution Service
N°visa : 15019

Résumé

Matin d’été à Brooklyn. Un trottoir. Joey Norton (7 ans) dessine un cow-boy à la craie. L’Ouest légendaire repousse l’horizon de son imagination. Son frère Lennie (12 ans) s’approche sur son air d’harmonica. Joey lui fait grief de sa violence qu’il subit. L’aîné se passerait bien de s’occuper de son cadet, toujours dans ses pattes. Leur mère les quitte jusqu’à demain : grand-mère malade. La tuile : Lennie doit veiller sur son frère tout ce temps. Devoir qui le prive, le jour de son anniversaire, de sa sortie à Coney Island avec ses copains Harry et Charley. Un terrain vague les réunit tous les quatre après manger. Harry a ramené la carabine de son père. Un projet malicieux mûrit vite. Harry force Joey à mettre en joue son frère et à tirer sur lui. Lennie passe de vie à trépas. Harry assure à Joey la chaise électrique, châtiment que leur pays réserve à ses criminels. Joey décampe. La sonnerie du téléphone le débusque chez lui. Il faut fuir pour de bon, rafler en partant les billets laissés par maman, enjamber la fenêtre guillotine, les durs à cuire font pareil, filer à la gare, houp ! un flic, prendre le train de ses rêves pour se réveiller à Coney Island : la plage féerique. Tournis du carrousel, rudesse des lancers, vertiges des glissades, si étranges miroirs et vrais poneys. La nuit tombe vite quand on est seul et recherché. Joey dort sur la plage. L’aube disperse ses songes. Le Pony Ride sait les ranimer, et comment ! Mais Jay, son patron bienveillant, s’alarme de sa présence répétée. Sa ruse dépêche Lennie sur place. Joey a pris peur, où est-il ? Heureux orage qui dépeuple la plage, Joey ressurgit, Lennie ne peut le manquer. Ne serait-ce pas le contraire ? Lennie réapparaît : Joey peut le toucher. C’était une blague ! 18 heures, à l’heure ! Leur mère n’est pas rentrée, le western va commencer : de l’or, une diligence, des coups de feu, des chevaux qui s’ébrouent, Morgan s’est enfui, Jim n’a rien vu. Et une mère n’a rien su. La voilà, elle ouvre la porte.