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L'homme qui plantait des arbres
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L'Homme qui plantait des arbres & Crac

Une programmation de 2 courts métrages de Frédéric Back réalisé en 1981 et 1987

Dispositif École et cinéma

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  • Période

    Temps scolaire

  • Tranche d'âge

    5-11 ans

Titre du film : L'homme qui plantait des arbres | Crac
Réalisateur(s) : Frédéric Back
Pays : Canada
Année : 1981 à 1987
Durée : 0h45
Version : VF
Distributeur : Film du Paradoxe
Stock : Distribution Service
N°visa : 2018 000 390

Résumé

L’Homme qui plantait des arbres

Alors qu’il marche depuis trois jours dans les collines arides et désertes du sud de la France, un jeune homme fait la rencontre d’un berger solitaire. Cet homme simple se nomme Elzéard Bouffier. Il vit humblement avec son chien et son troupeau de brebis. N’ayant pas de grandes occupations, il s’est donné pour mission de redonner vie à cette contrée qui se meurt de sécheresse. Pour cela, il plante des arbres. En trois ans, il a déjà planté cent mille glands et prévoit que dix mille arbres pousseront. Les années passent. La guerre de 14-18 éclate. Le jeune homme part pour le front. Lorsqu’il revient, le paysage des collines a changé : des jeunes chênes, hêtres, bouleaux ont poussé par milliers et l’eau est revenue. Les années passent, une nouvelle guerre mondiale éclate. Au gré de ses visites au vieux berger, l’homme voit s’accomplir une véritable métamorphose. La flore, la faune, les habitants sont réapparus ; les villages abandonnés sont reconstruits. Arrivé au terme de sa vie, l’auteur anonyme de ce prodige meurt paisiblement.

 

Crac !

Crac ! Dans une forêt enneigée, un bûcheron coupe un arbre. Avec les planches, il fabrique une chaise à bascule pour sa bien-aimée. Ainsi commence l’histoire d’un meuble et d’une famille québécoise. Le couple se marie. Bientôt, des bébés arrivent. Le siège les berce et sert aux jeux des enfants en devenant tour à tour locomotive, cabane, cheval de guerre… et s’abîme doucement. Les années passent, les enfants grandissent et quittent la maison. Les modes de vie changent, les paysages se transforment. La chaise à bascule, cassée, est jetée au rebut. Sauvée in extremis par un gardien de musée, restaurée, elle trouve une nouvelle vie : le jour, elle amuse les jeunes visiteurs ; la nuit, elle fait danser les œuvres du musée et revivre le passé.