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Plateforme collaborative d’éducation aux images

Dispositif Collège au cinéma
Dispositif École et cinéma
Dispositif Maternelle au cinéma
Dispositif Passeurs d’images

Atelier n°5 (Lyon)

Actions à mettre en œuvre auprès de tous les publics pour une politique ambitieuse d’émancipation artistique et culturelle

Animé par Florent Labre, réalisateur-intervenant, Label Vie d’Ange et Marco Gentil, cinéma Le Méliès à Grenoble.

Participant·es

Dans le cadre d’une volonté des pouvoirs publics de renforcer l’accès à la culture pour tous les citoyens, des actions sont mises en œuvre dans les territoires et au niveau national. Quelles sont ces expériences, comment les valoriser, quels sont les freins à leur développement et comment surmonter les difficultés grâce à une mise en réseau des bonnes pratiques ? Comment impulser et développer des nouvelles pratiques innovantes pour tous les publics ? Quels rôles peuvent jouer les droits culturels ?

Participant·es
  • Etudiant M1 cinéma
  • Bourg-en-Bresse - MJC, chargée de mission culturelle
  • Les Amis du Cinéma, chargée d'action culturelle
  • Ardèche images, coordinatrice secteur diffusion
  • Huit et Demi - Le Fellini, programmatrice-Animatrice
  • Malraux scène nationale Chambéry Savoie, coordinatrice collège au cinéma programmatrice cinéma
  • GRAC, Déléguée générale
  • Cinéma Archipel, intervenant d'éducation aux images
  • Villefontaine Féliciné, médiatrice
  • ALLIES, responsable mission insertion culture
  • Cinéma Comoedia, assistante de direction
  • Université Lyon 2 / Maison de l'Image de Grenoble, Docteur en Sciences de l'éducation / CA de la Maison de l'Image
  • DSDEN de la Savoie, conseillère pédagogique
  • DTPJJ, Rhône Ain, éducateur pjj
  • Réalisateur et intervenant
  • Cinéma Meliés-Grenoble
  • Association Passeurs d’images
Constat initial

Maîtres mots
renforcer l’accès à la culture pour tous les citoyens : quid de la participation, du rôle des droits culturels et des propos de l’Agenda 21 ? Tout le monde n'est à jour de ces questions, donc le débat n’est pas possible.

Question de l’opposition ou de la complémentarité des objectifs
la découverte du cinéma permet par la suite d’être bien outillé pour décrypter et non pas éduquer par l’image.
Pour cela on fait des partenariats valorisation de la personne par la pratique qui engage le corps.

Expériences autour des publics visés et conclusions

Présentation des projets

  • Pour l’intervenant Passeurs d’images : mixer les publics, continuité, partenariats avec les associations du territoire et pas forcément du domaine culturel.
  • Pour l’intervenant cinéma : pas qu’intervention mais aussi déplacement ou récréation de ce qui se passe dans la salle : le voir ensemble.

La porte ouverte entre l’accès à la culture et la participation culturelle sont les droits culturels et l'agenda 21 qui permettent l’émancipation via le cinéma :

  • Langage (commun, ou plusieurs langages ?).
  • Faire du lien (si on va plus loin que le visionnage : débats, etc).
  • Développe l’esprit critique : droit de dire si cela a plu ou pas (moyens pour le faire).
  • Notion de point de vue pour ne pas se sentir exclu.
  • Droit à la différence : le cinéma d’art et essai/auteur/indépendant s’autorise à être différent.
  • Cinéma comme moyen pour faire ensemble, expérience.
  • Cinéma comme vecteur de plaisir (plaisir à être manipulé par le cinéma).
  • Émotions : inhérentes à la pratique artistique et culturelle dans une société qui a peur des émotions.

Pistes à explorer

  • La participation des citoyens : par exemple, clubs de programmation (mais attention, être programmateur est un métier).
  • L'émancipation des personnes relais est le premier pas : les accompagner pour qu’ils puissent défendre des choix de programmation (via formation, temps de rencontre, … .) mais aussi convaincre des nouveaux pour qu’ils s’engagent (via des témoignages…).
  • Volet création (parcours d’éducation artistique et culturelle pour tous).
Atelier n°5